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Conseillé par Livres en Nord (Libraire)9 février 2018
Vivian Miller, épouse comblée et mère de quatre enfants, travaille au sein de la CIA en tant qu'analyste, traquant à longueur de journées les espions Russes infiltrés sur le territoire américain.
Sa vie bascule le jour où elle découvre une photo de son mari sur un ordinateur ennemi...
Choquée, elle décide de lui demander des comptes. Sous ses airs sincères, continuerait-il à la duper ? Est-elle si naïve et aveugle devant cette évidence qu'elle ne peut accepter ?
À travers de vagues réminiscences, Vivian en vient à se demander si elle ne s'est pas fait manipuler insidieusement tout au long de ses années de mariage...Tiraillée entre sa conscience professionnelle et l'amour de ses enfants, choisira-t-elle d'aider son pays ou son espion de mari...?
Un thriller psychologique prenant et addictif,
À lire !
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Conseillé par o n l a l u25 février 2018
Le mari qui venait du froid
Une nouvelle signature dans la confrérie des agents de la CIA passés à l’écriture. Un profil inédit qui vient s’intercaler entre les fictions vibrantes de vécu d’un Robert Baer (« Syriana » ou « RED » au cinéma) ou d’un Jason Mathews ( « Le Moineau Rouge ») et les best-sellers formatés, sans lien avec leur passé, d’un Barry Eisler ou d’un Joseph Finder. Karen Cleveland, à en croire ses éditeurs, a travaillé huit ans au sein de la « Centrale » en tant qu’analyste, un poste de geek où l’on croise, recoupe, extrapole les fruits du renseignement humain et des écoutes électroniques. Son expérience lui a servi à planter le décor. Dans un service similaire à celui qui l’employait, elle a situé une intrigue assez bateau, façon « thriller domestique » : l’histoire du mari qui n’est pas celui qu’il prétendait.