- EAN13
- 9782363156112
- ISBN
- 978-2-36315-611-2
- Éditeur
- Iggybook
- Date de publication
- 18/11/2016
- Collection
- IGG.LITTERATURE
- Nombre de pages
- 176
- Dimensions
- 21,6 x 14 x 0,9 cm
- Poids
- 192 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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J’irai voter pour Bourbaki est d’abord un roman.
C’est aussi l’actualité.
C’est un roman qui fictionne et frictionne la réalité.
C’est surtout le cri d’une génération et c’est tout un programme.
« Il faut dire que le quotidien de ma génération, qu’on l’appelle Y, What ou Digital native, a de quoi couper les jambes pour se rendre au bureau de vote. Crise économique, politique, sociale, écologique, du logement, des valeurs... ces mots qu’on entend à longueur de journée, pour nous c’est concret. Et concrètement, c’est l’air vicié à la naissance, des eaux qu’on ne peut plus boire sans ajouter des produits bizarres, d’autres où on ne peut plus se baigner, la grippe aviaire, la tremblante du mouton, la malbouffe, c’est aussi surveiller ses arrières quand on boit un verre ou qu’on écoute de la musique, pour éviter les balles de Kalash’, c’est maintenant l’état d’urgence tout le temps et je ne parle même pas de l’amour parce que là c’est la merde. »
C’est aussi l’actualité.
C’est un roman qui fictionne et frictionne la réalité.
C’est surtout le cri d’une génération et c’est tout un programme.
« Il faut dire que le quotidien de ma génération, qu’on l’appelle Y, What ou Digital native, a de quoi couper les jambes pour se rendre au bureau de vote. Crise économique, politique, sociale, écologique, du logement, des valeurs... ces mots qu’on entend à longueur de journée, pour nous c’est concret. Et concrètement, c’est l’air vicié à la naissance, des eaux qu’on ne peut plus boire sans ajouter des produits bizarres, d’autres où on ne peut plus se baigner, la grippe aviaire, la tremblante du mouton, la malbouffe, c’est aussi surveiller ses arrières quand on boit un verre ou qu’on écoute de la musique, pour éviter les balles de Kalash’, c’est maintenant l’état d’urgence tout le temps et je ne parle même pas de l’amour parce que là c’est la merde. »
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