- EAN13
- 9782913761780
- ISBN
- 978-2-913761-78-0
- Éditeur
- Presses Universitaires du Septentrion
- Date de publication
- 10/01/2019
- Collection
- <em>Revue des Sciences Humaines</em>
- Nombre de pages
- 178
- Dimensions
- 24 x 16 x 2,8 cm
- Poids
- 325 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Revue des Sciences Humaines, n°331/juillet-septembre 2018
La littérature au risque des médias
Nathalie Piégay, Marie-Laure Rossi
Presses Universitaires du Septentrion
<em>Revue des Sciences Humaines</em>
Offres
On s'est beaucoup interrogé sur les effets des médias et du à présent du
numérique sur la lecture: comment modifient-ils la réception des textes et les
conditions de la lecture? Ce volume s’interroge sur la façon dont les médias
sont représentés par la littérature mais aussi sur la manière dont les auteurs
tiennent compte, dans leur œuvre, du pouvoir qu’ils exercent sur la forme
littéraire elle-même et sur l’écriture – sa temporalité, son rythme, ses
enjeux. Il analyse aussi les postures que l’écrivain doit adopter face à la
télévision, à la radio (pour laquelle il peut écrire), et à la diffusion des
images et des écrits sur le Net. Qu’il s’agisse de Chevillard, de Houllebecq,
de Bon ou de Pireyre, la forme est affectée par les médias. Provocation,
humour, défense sont autant de positions que les écrivains adoptent face à ce
discours et ce pouvoir médiatiques que la littérature a souvent considérés
comme étrangers à son essence.
numérique sur la lecture: comment modifient-ils la réception des textes et les
conditions de la lecture? Ce volume s’interroge sur la façon dont les médias
sont représentés par la littérature mais aussi sur la manière dont les auteurs
tiennent compte, dans leur œuvre, du pouvoir qu’ils exercent sur la forme
littéraire elle-même et sur l’écriture – sa temporalité, son rythme, ses
enjeux. Il analyse aussi les postures que l’écrivain doit adopter face à la
télévision, à la radio (pour laquelle il peut écrire), et à la diffusion des
images et des écrits sur le Net. Qu’il s’agisse de Chevillard, de Houllebecq,
de Bon ou de Pireyre, la forme est affectée par les médias. Provocation,
humour, défense sont autant de positions que les écrivains adoptent face à ce
discours et ce pouvoir médiatiques que la littérature a souvent considérés
comme étrangers à son essence.
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