À l'impossible, nul n'est tenu

…devant, marron derrière
 
De la lettre d’amour naquit le cri de haine, de la bêtise humaine naquit le sang partage. (Ou le sans partage, comme vous l’entendrez). Aujourd’hui je suis des plus sérieux en jouant sur les mots et les sons de ces maux. Qu’importe l’interprétation, l’harmonie des sens n’est qu’une inverse de plus dans le méli-mélo de nos mots. Le principe s’implique donc peut-être dans une trop simple compréhension d’amélioration d’une vision plate mais heureusement infinie.
 
On pourra penser de moi que je suis fou car je peux en attester. J’en suis fier car je ne pense pas l’être. Je panse l’être. J’ai tout ce qu’il faut pour écouter des réponses ou poser des questions ou encore de susciter l’assurance d’un bon suivi.
 
Je vis ma vie sous influence et j’adore cela, c’est simple ! En ce sens, j’ai besoin des autres. Besoin charnel, de connexion, d’échange, de savoirs et connaissances.
 
Je suis entré dans un monde de cohérence que j’ai toujours cherché à comprendre. Celui d’une vie sur terre structurée plus ou moins calculée… préméditée… devant réagir à des règles très précises… Aux antipodes d’une théorie du complot… peut-être deux, trois, une infinité !
 
Et si la vie était mathématiquement biologique ?
 
Si transformer une thérapie en terre happy n’est pas drôle et constructif alors, tant pis !
 
Ce qui est fait n’est plus à faire et c’est tant mieux. L’unité se résoudra.