- EAN13
- 9782702512821
- ISBN
- 978-2-7025-1282-1
- Éditeur
- Lavauzelle
- Date de publication
- 13/06/2005
- Nombre de pages
- 292
- Dimensions
- 21 x 15 x 2,5 cm
- Poids
- 300 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La guerre des cinq continents
Autres contributions de Stanislas Szymanczyk, Pierre-Marie Gallois
Lavauzelle
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A Londres, à l'automne 1940, est née une revue
d'intellectuels qui se proposait de présenter
«au monde le vrai visage de la France, de la
culture française» : la revue La France Libre.
Cette revue, fondée par André Labarthe, personnage
étrange passé du gaullisme à l'anti-gaullisme, réputé avoir été
financé à la fois par l'Intelligence Service et ... les Soviétiques,
est surtout connue grâce à la réputation du philosophe qui
y fit ses premières armes : Raymond Aron.
Mais l'autre co-fondateur, qui tient la chronique de géostratégie,
est toujours resté dans l'ombre. Il s'agit de Stanislas
(dit «Stacho») Szymanczyk, personnage énigmatique, ancien
officier polonais ayant participé à la révolution spartakiste
en Allemagne, certainement kominternien, exilé à Londres
à l'été 1940, après un passage à Paris.
Dans ses articles, ce grand admirateur de Clausewitz et de
Delbrück, fin connaisseur des choses d'Allemagne et d'Union
soviétique, tente d'expliquer les enjeux des événements
politico-militaires du moment. Avec limpidité, courage et
prescience, comme en témoigne la première ligne de son
premier article : «L'Allemagne a jusqu'à présent remporté
des victoires mais non la victoire.»
Un florilège de ces chroniques de géostratégie a été publié
en 1943 à Londres par les éditions Hamish Hamilton. C'est
ce livre, introuvable aujourd'hui, qui est ici réédité. Le nom de
l'auteur n'apparaît pas dans l'édition première. Les lecteurs
de l'époque se contentèrent de savoir qu'il était signé par
«le critique militaire de la revue La France Libre».
Il était temps de faire connaître ce document historique
exceptionnel et de lever le voile sur son énigmatique auteur,
une sorte de Thucydide de la Deuxième Guerre mondiale.
d'intellectuels qui se proposait de présenter
«au monde le vrai visage de la France, de la
culture française» : la revue La France Libre.
Cette revue, fondée par André Labarthe, personnage
étrange passé du gaullisme à l'anti-gaullisme, réputé avoir été
financé à la fois par l'Intelligence Service et ... les Soviétiques,
est surtout connue grâce à la réputation du philosophe qui
y fit ses premières armes : Raymond Aron.
Mais l'autre co-fondateur, qui tient la chronique de géostratégie,
est toujours resté dans l'ombre. Il s'agit de Stanislas
(dit «Stacho») Szymanczyk, personnage énigmatique, ancien
officier polonais ayant participé à la révolution spartakiste
en Allemagne, certainement kominternien, exilé à Londres
à l'été 1940, après un passage à Paris.
Dans ses articles, ce grand admirateur de Clausewitz et de
Delbrück, fin connaisseur des choses d'Allemagne et d'Union
soviétique, tente d'expliquer les enjeux des événements
politico-militaires du moment. Avec limpidité, courage et
prescience, comme en témoigne la première ligne de son
premier article : «L'Allemagne a jusqu'à présent remporté
des victoires mais non la victoire.»
Un florilège de ces chroniques de géostratégie a été publié
en 1943 à Londres par les éditions Hamish Hamilton. C'est
ce livre, introuvable aujourd'hui, qui est ici réédité. Le nom de
l'auteur n'apparaît pas dans l'édition première. Les lecteurs
de l'époque se contentèrent de savoir qu'il était signé par
«le critique militaire de la revue La France Libre».
Il était temps de faire connaître ce document historique
exceptionnel et de lever le voile sur son énigmatique auteur,
une sorte de Thucydide de la Deuxième Guerre mondiale.
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