Je vois, j'imagine, Poèmes-objets
EAN13
9782070111947
ISBN
978-2-07-011194-7
Éditeur
Gallimard
Date de publication
Collection
Livres d'Art
Nombre de pages
200
Dimensions
29,7 x 24,2 x 2,3 cm
Poids
1551 g
Langue
français
Code dewey
841.91
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Je vois, j'imagine

Poèmes-objets

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Préface de

Gallimard

Livres d'Art

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Je vois, j'imagine regroupe cent quarante-trois œuvres plastiques d'André Breton : la plupart des pièces connues ou peu connues, avec quatre-vingt-quatre réalisations totalement inédites. La parution du livre coïncide avec l'importante exposition, organisée en avril 1991 au centre Georges-Pompidou autour d'André Breton et la peinture, où doivent figurer parmi les œuvres connues, quelques-uns
seulement des poèmes-objets réunis dans l'édition Gallimard. Nul ne pouvait mieux commenter les propositions plastiques du fondateur du surréalisme qu'André Breton lui-même. Ce parti pris adopté au départ, les œuvres ont été regroupées selon de grands thèmes d'aimantation avec un sort particulier accordé aux poèmes-objets précédés du texte phare Crise de l'objet. Le rapport constant d'analogie établie entre texte et image constitue une des lignes de force de cet album d'art. Textes théoriques, poèmes et fragments tendent, en se combinant aux reproductions des œuvres, «à spéculer sur leur pouvoir d'exaltation réciproque» comme dans la définition du poème-objet. La présentation ou plutôt l'ouverture d'Octavio Paz (prix Nobel de littérature en 1990), amplifie le jeu des
correspondances en redonnant à ces œuvres toute leur importance. En fin de volume, le catalogue réunit, outre les indispensables précisions techniques, nombre de renseignements biographiques précieux ainsi qu'une bibliographie pour chaque œuvre reproduite dans le passé. La réunion pour la première fois des œuvres plastiques d'André Breton a une importance déterminante pour la connaissance de l'œuvre du poète comme pour celle du théoricien et critique du Surréalisme et la peinture.
Choix des textes et catalogue établis par Jean-Michel Goutier
Préface traduite par Jean-Claude Masson
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